VITANIE ☾ La souffrance use l'espoir.

The relentless climb. The pain and anguish of taking it to the next level. Nobody takes pictures of that. Nobody wants to remember. We just want to remember the view from the top. The breathtaking momentat the edge of the world. That's what keeps up climbing.

ϟ 60's identity

NOM ET PRÉNOMS:

Bailind. Vitànie, Swan, Meredith.

ÂGE:

Présentement âgée de vingt quatre ans

DATE ET LIEU DE NAISSANCE:

La jeune femme est née un 15 Decembre, dans la ville de Fort Worth au Texas.

NATIONALITÉ:

Totalement et simplement américaine.

PROFESSION:

Serveuse.

ϟ First part

"Je me souviens de ce que disais ma mère lorsqu'elle parlait de moi. Elle ne cessait de répèté que j'étais une personne maligne, qui risquait de faire bien des ravages auprés des garçons. Je reconnais que dés le début de mon adolescence, j'ai su mettre a profit mes avantages afin d'obtenir ce que je désirai de la gente masculine. Mais je ne le faisais jamais avec de la méchanceté, je ne supportais pas ça. Alors j'essayais d'user de ma confiance en moi pour les berner. Et ça marchait plutôt bien. Cependant ce n'était pas ce que disais maman qui me fit comprendre que j'avais, moi aussi, de mauvais côté. Je me souviens d'une amie d'enfance qui avait eu le malheur d'aller raconter partout dans la ville que j'étais amoureuse de Danni Sheldon. Autant dire que ce jour là, elle avait signé son arrêt de mort. Et lorsqu'elle est revenue vers moi, j'ai voulu lui faire connaître ce que j'avais ressentie ce jour là. Alors, je l'ai publiquement humiliée. Plus tard, ma mére m'as dit que j'étais ce qu'on apellait, rancuniére. Oui peut être bien. Mais je lui répondais que ma gentilesse et ma générosité envers autrui devrait bien compenser ce défault là. Elle en riait. Ce n'est que des années aprés, que je compris que ma trés chére mére aimait parlé de sa têtue, brillante et bavarde de fille auprés de ses amies. C'était une façon a elle de réaliser qu'elle genre de personne elle avait elevée. Je ne pouvais donc pas lui en vouloir. Mes relations avec les garçons m'ont également appris quelques petites choses sur mon caractére. Selon la plupart d'entre eux, j'étais une grande passionnée, par moment excessivement jalouse qui avait tendance à mettre son nez là ou il ne fallait pas et qui ne réfléchissait pas forcément avant d'agir. Aprés tout, je veux protéger les personnes que j'aime, sans limite, et de façon plus que permanente, il faut pouvoir faire face."

Spoiler:

ϟ Second part

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Valentine's Day, a few years ago.

Alors que le temps dehors semblait s'assombrir, les gens rentraient dans le hall d'entrée comme si il pleuvait déjà des cordes. C'était amusant de voir combien l'humeur des gens pouvaient être affecté par le temps, alors que certains, comme Vitànie, conservait une humeur stable. En vérité, les intempéries la mettait plutôt de bonne humeur mais ce n'était pas une chose qu'elle avouait à n'importe qui. Voila plus d'une heure qu'elle l'attendait et il n'était toujours pas là. Ce n'était pas son genre d'être en retard et surtout pas le jour de la St Valentin. Et encore moins lors d'un dîner qu'il avait planifié depuis manifestement quelques semaines. Il était en effet nerveux les dernières fois qu'ils s'étaient vus et la jeune femme n'avait pas réellement cherché à savoir ce qui se cachait la dessous. Mais maintenant elle regrettait sincèrement de ne pas l'avoir fait, car ça l'aurait tout au plus éviter d'attendre son - petit - ami dans un hall bondé de personnes grincheuses et déçues du mauvais temps. Elle se rappelle qu'il avait été heureux qu'elle accepte de fêter la St Valentin en sa compagnie, mais elle même avait été surprise qu'il souhaite la fêter. C'est une demande qui se faisait rare chez les hommes, eux qui considèrent cette fête comme une chose commerciale. Et pourtant, il avait organisé un dîner dans un hôtel-restaurant qu'elle adorait, et lui avait même envoyé un bouquet de ses fleurs favorites : des roses blanches. Comment résister à de telle attentions et à un si joli minois. Pour elle, tomber amoureuse n'était pas une chose facile. Souvent les hommes qui l'intéressé finissait par la décevoir et elle se retrouvait comme à l'accoutumé, seule. Pourtant avec Tristan tout cela semblait facile... presque trop d'ailleurs. Mais le bien être qu'elle ressentait en sa présence constituait une chose essentielle pour la jeune femme. Elle s'était assise après le premier quart d'heure d'attente, mais ses jambes commençaient à tirer et elle trouva préférable de se lever et de marcher un peu dans le hall qui était d'un luxe presque écœurant. Alors qu'elle tortillait ses cheveux en se demandant si elle était assez habillée et joliment coiffée, elle le vit pousser la porte de l'hôtel. Elle fut d'abord frappé par le fait qu'il était tout deux assortis, elle portait une robe de couleur or avec une ceinture noir et un petit noeux, tandis qu'il était tout vêtu de noir avec seuleument sa cravate couleur or. Puis elle vit s'avancer vers elle d'un air décidé et effrayé, comme si il n'était pas certain de ce qu'il faisait. Son air nerveux mais souriant la fit vraiment craquer. Elle s'avança doucement vers lui de quelques pas, puis il arriva enfin devant. « Bonsoir toi. » dit la jeune femme, un demi sourire sur les lèvres. Et avant qu'elle ne puisse continuer il prononça la phrase qu'elle craignait le plus. « Je t'aime. » Elle avait bien entendue. Ce n'était pas son esprit qui lui jouait des tours. Il venait de lui dire qu'il... l'aimait. Son demi sourire se désintégra totalement tandis qu'il la regardait un air heureux sur le visage. Il n'avait pas pris la peine d'attendre qu'il soit tranquillement dans son appartement. Il lui avait balancé ça, d'un coup, comme si il brulait d'impatience de le lui dire. Il la prit par la main et l'amena dans la salle tandis qu'elle resta sans voix pendant plusieurs minutes. Il l'aimait.

***

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Les choses avaient bien changés depuis que Tristan avait abandonné Vitànie. La jeune femme avait beaucoup changée. Elle n'était plus cette personne dépendante d'une autre. Non, elle avait appris à ne dépendre que d'elle même. Elle n'avait pas eu le choix. Lorsqu'elle avait appris qu'elle était enceinte, elle croyait que la vie lui offrait la possibilité d'être heureuse... d'avoir une famille. Mais c'était sans compter Tristan et ses stupides conneries qui l'ont mené à faire de la prison. Son univers avait totalement basculé et elle avait preferé rompre et ne rien dire sur sa grossesse. A quoi cela aurait il servi aprés tout. Et puis, avec ses parents, il était impossible qu'elle envisage de garder le bébé. Tristan aurait voulu l'épouser par contrainte et non par amour, et c'était une chose que Vitànie n'aurait pas pu accepter. Elle décida alors de partir de la ville afin d'éviter que toute information sur son état de lui parvienne. Sa meilleure amie l'avait aidé à tout arranger afin que l'adoption soit faites dans les formes et que son enfant soit acceuillit par une famille digne de lui. Puis elle était revenue chez elle.

Lafayette, present day.
Alors qu'elle ne supportait plus les nuages qui s'insinuait dans le ciel, Vitànie était à l'intérieur, essayant de remettre de l'ordre dans sa maison. Mais elle ne cessait de penser à Tristan et au fait qu'il était désormais un homme libre. Sans doute l'avait il oublié depuis. Ce n'était malheuresement pas son cas, bien qu'elle l'eut preferé. Bien qu'elle attendait de la visite cette aprés midi là, la personne qu'elle trouva dans son salon lui fit l'effet d'un coup de poing en plein coeur. « Tu m'as fais peur. » C'était un mensonge, mais les mots qu'elle voulait prononcer ne pouvaient sortir de sa bouche. Pas aprés une année de souffrance, et de silence. Elle se contenta alors de le regarder, remarquant quelques changements. « Je ne pensais pas te trouver ici. » Etait ce tout ce qu'il avait à lui dire ? La jeune femme espérait bien que non. Cependant, son regard était désormais voilé par... de la colére. Elle ne pouvait s'empêcher de culpabiliser, mais si il ne l'aurait pas quitté il y a un, il aurait appris pour le bébé et elle ne le souhaitait pas. Impossible pour elle de bouger. Elle ne pouvait que rester là, un pot de fleurs fraîches dans les mains, tandis que l'amour de sa vie s'avança. « Je n'aurais pas du venir. » Et sur ces mots, il se dirigea vers la porte. Aprés une année entiére, il regrettait de la revoir. Peut être qu'elle n'avait pas faux sur toute la ligne aprés tout. Cependant, alors qu'elle le regardait s'éloigner, elle fut incapable de trouver les mots qui auraient pu le faire revenir. Probablement parce qu'il n'y en avaient pas. Il ne reviendrait jamais vers elle.